Allez, une métaphore pour aider bien finir cette année difficile et à commencer la suivante sur un bon pied!
Imaginez que la porte que vous devez ouvrir est fermée à clé et que vous disposez pour ça d’un gros trousseau. Après de multiples essais, la porte reste fermée, aucune de vos clés n’a fonctionné.
Que faites-vous?
Cas 1 : Vous ne les avez pas toutes essayées.
Vous pouvez continuer jusqu’à la fin du trousseau en espérant que la bonne clé s’y trouvera.
C’est le changement de type 1 . « Plus de la même chose ». Ca peut marcher.
Cas 2 : Vous avez déjà passé en revue tout le trousseau et vous recommencez.
Dans ce cas, vous êtes coincé dans une boucle sans issue. Ca ne marche jamais.
Cas 3 : Vous avez passé en revue tout le trousseau et vous décidez d’enfoncer la porte, de forcer la serrure, ou de passer par la fenêtre.
C’est le changement de type 2. « On change de tactique ». Ca peut marcher aussi.
Cas 4 : Vous arrêtez promptement vos tentatives et vous vous posez les questions : « Dois-je vraiment ouvrir cette porte ? » , « Pourquoi l’ouvrir ? », « Est-ce à moi de le faire ? », « Qu’est-ce que ça va m’apporter ? ».
En fonction de vos réponses, vous avez des chances d’économiser de l’énergie en vous détournant d’une tâche inutile.
C’est le changement de niveau logique. « On prend du recul, on réfléchit et on décide». Ca marche souvent, quand bien sûr l'enjeu le permet.
Certaines situations professionnelles s’apparentent à celle de la porte fermée à clé, elles vous donnent l’impression de tourner en rond, d’être «coincé» dans un cercle vicieux dont vous ne trouvez pas la sortie.
Se tromper dans le choix du type de changement peut avoir des conséquences néfastes, perte de temps, d’énergie, inefficacité, etc… et un des rôles du (bon) coach est de vous aider à caractériser votre situation (cas 1, 2, 3 ou 4) et de vous accompagner dans la mise en oeuvre des meilleures solutions.
Président fondateur de SAS COACH REUNION CONSULTING
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